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Bamba Dieng, buteur de l’OM contre Lorient
Crédit photo : Imago
- Tardieu, la panenka de l’artiste
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Farid Boulaya était absent cette saison. Le milieu de terrain algérien n’a pas su faire la lumière sur le jeu du FC Metz pour sortir son équipe du marasme. A tel point qu’il est resté sur le banc lors des quatre derniers matches lorrains avant cette rencontre face à l’OL. Mais ce dimanche, Frédéric Antonetti a choisi de le sortir de son carton à la 80e. Bien nommé. Dix minutes plus tard, Boulaya Metz offrait la victoire d’un but magnifique dont il a le secret (3-2). Après avoir accroché Emerson, il a décroché un superbe tir du pied gauche dans la lucarne supérieure. Son quatrième but de la saison vient de commémorer son talent. Et laissant aussi quelques regrets de ne pas l’avoir exprimé plus souvent cette saison.
Des images qui font du bien à la tribune, surtout après une saison très difficile. Vainqueur au but au Stade de Reims (1-2) grâce à un but de Seko Fofana à la 95e minute, le RC Lens est toujours en vie pour se qualifier en Ligue Europa ou en Conférence de Ligue Europa. Voilà pour le côté athlétique et mathématique. Surtout, ce succès, obtenu avec courage, est fêté par les hommes de Franck Haise, qui s’attachent à communiquer avec leurs supporters, venus en nombre à Auguste-Delaune, ce qui impressionne les locaux. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le public artésien, lui-même en infériorité numérique et très éloigné de Bollaert, a fait un sacré boucan. Pendant les 90 minutes, les Lensois ont animé les tribunes comme s’ils étaient chez eux avant de célébrer la victoire avec leurs joueurs d’un superbe bouquet final. C’est le football qu’on aime !
Les flops
- Les montagnes russes de Lyon
C’est tout le paradoxe de cette équipe lyonnaise. Ce qui la rend si ennuyeuse pour ceux qui la suivent. Une semaine après avoir frappé fort sur la pelouse phocéenne (0-3) pour entretenir les espoirs européens la saison prochaine, les Gones ont de nouveau retrouvé les moyens d’en finir malgré un doublé de Moussa à la Lanterne Rouge de Messine (3-2) pour être a puni Dembélé. Ce dimanche, l’OL a montré des manquements indignes, une fois de plus trop incohérents, réactifs et trop gâchés. Loin du niveau affiché la semaine dernière. Mais cela n’étonnera pas grand monde en L1, où l’on s’habitue petit à petit aux montages russes de l’OL, qui ont coûté si cher aux protégés de Jean-Michel Aulas.
Metz-Lyon
Crédit photo : Getty Images
- Kimpembe, un hic et une nuit cauchemardesque
Son nom était à peine mentionné lors de l’analyse de la saison contrastée du Paris Saint-Germain. Mais force est de constater que la pratique 2021/2022 de Presnel Kimpembe n’a pas été bonne, loin de là. Sa performance face à Troyes n’est pas loin d’être catastrophique et l’international français s’est pleinement impliqué, contre son gré, dans l’ascension de l’ESTAC au Parc des Princes. Au retour des vestiaires, le stoppeur commet une énorme faute sur Renaud Ripart dans la surface de réparation, qu’il saisit comme à la lutte. Paris n’avait besoin d’aucun de ses dirigeants au moment de la rencontre pour se détacher ainsi. Une gaffe qui résumait parfaitement les derniers mois du Parisien Titi pas dans son assiette.
Presnel Kimpembe lors de PSG-Troyes (2-2) en Ligue 1
Crédit photo : Getty Images
Costil, boulette coupable
Mais que faisait-il alors, si loin de son but ? David Guion et les supporters bordelais vont encore se poser la question tant la sortie de Benoit Costil à la 5e minute est incompréhensible. Loin de sa surface lorsque Mathias Pereira Lage a été touché en profondeur, le gardien bordelais s’est retrouvé en difficulté tout seul, offrant le premier but (1-0) à Angers et Mohamed-Ali Cho qui n’avaient qu’à enfoncer le ballon dans le but vide. ). , 5.). Une terrible erreur d’anticipation pour le vétéran gardien girondin revenu dans la cage bordelaise dans cette phase finale. Avec cette boulette, l’ancien Rennais a alourdi son équipe, qui n’en avait pas besoin alors que les Bordelais étaient déjà dans le doute. “Comment avons-nous réussi à nous immerger dans ce match dont on savait l’enjeu au bout de 6 minutes ? a résumé David Guion, son entraîneur, après la défaite de son groupe (4-1). Il n’est donc pas le seul à se poser la question, même si Costil s’est distingué par plusieurs arrêts à l’époque.
Costil (Bordeaux) lors de la défaite à Angers
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“Venez au stade pour nous encourager. Sinon restez chez vous“Le message de Sven Botman à ses supporters après la défaite 2-1 face à Monaco a le mérite d’être clair.”Vous pouvez avoir votre avis, mais au début du match, dès les premières minutes, ils soutenaient déjà l’équipe adverse. Pour moi c’est inadmissible» a ajouté le défenseur, irrité par le comportement du stade Pierre Mauroy, qui tantôt a soutenu les Monégasques, tantôt moqué ses protégés.C’est facile d’être là quand tout va biencommença José Fonte, très ému. C’est compliqué quand t’entends les rires quand t’entends applaudir l’adversaire. » La fin de saison s’annonce longue dans le nord.
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